Jokab Safety, spécialisé dans les composants de sécurité, apporte de nouvelles fonctionnalités à sa poignée “homme-mort” JSHD4, pour plus de sécurité.
Destiné à commander des équipements présentant un danger potentiel pour les opérateurs, les poignées de sécurité imposent que l’opérateur tienne bien la poignée en main et qu’il appuie en permanence sur un ou plusieurs boutons. C’est ce que fait la poignée JSHD4 de Jokab Safety, qui répond à de nombreuses normes de sécurité nationales et internationales (EN 292 1/2, EN 60204, VDE010/013, BS2771). Celle-ci comporte, à l’endroit où l’opérateur met les doigts un bouton à trois positions. Pour que l’équipement dangereux (machine, robot, pont roulant, etc.) puisse être mis en route, il faut que l’opérateur appuie suffisamment (avec une force de 8,5 N) sur le bouton pour le mettre dans la position médiane. S’il relâche sa pression (soit volontairement, soit parce qu’il a un malaise, par exemple), un relais de sécurité est enclenché. Même résultat s’il est pris de panique et que sa main se crispe sur la poignée : le bouton se trouve alors dans la troisième position (enfoncé à fond, la force de déclenchement étant de 250 N). Un double contact (pour plus de sécurité) électrique est associé à chacune des positions du bouton.
La poignée se décline en plusieurs variantes, se distinguant notamment par la présence (ou l’absence) de un ou deux boutons auxiliaires sur la partie supérieure. Ces boutons doivent être actionnés par le pouce et ils ne sont opérationnels que si les doigts de l’opérateur maintiennent le bouton du centre dans sa position médiane. Les deux boutons de la partie supérieure peuvent par exemple servir à déclencher des marches/arrêts ou des montées/descentes, en toute sécurité.
Un voyant vert, placé au-dessus de la poignée, indique à l’opérateur si la pression sur le bouton central est correcte. Si ce n’est pas le cas, c’est un voyant rouge qui s’allume.
La poignée est prévue pour au moins un million de manœuvres. Elle mesure 80 x 22 x 41 mm.