Les oscilloscopes analogiques n’ont pas encore disparu mais l’offre est désormais très restreinte et se cantonne à des appareils ne dépassant guère 200 MHz de bande passante, alors que celle de leurs homologues numériques atteint aujourd’hui 32 GHz. De nombreux fabricants se concurrencent sur ce marché où l’essentiel de l’offre se situe en deçà de 1 GHz. Les écrans couleurs équipent quasiment tous les modèles qui offrent de nombreuses, et parfois complexes, capacités de visualisation, de traitements et d’analyse de signaux. Au côté des voies analogiques, de plus en plus d’oscilloscopes numériques sont dotés d’entrées numériques.