La thermographie infrarouge est couramment utilisée dans le contrôle non destructif de matériaux composites et organiques, mais elle connaît vite ses limites lorsqu’on recherche les défauts des matériaux métalliques. Une nouvelle méthode d’imagerie infrarouge, la vibrothermographie, permet de pallier cet inconvénient et ouvre la voie à des applications qu’il n’était pas possible d’envisager avec les méthodes traditionnelles. A la base, pourtant, il n’y a qu’une caméra infrarouge et des ultrasons…
La lecture de cet article est payante.
Connectez-vous ou abonnez-vous pour y accéder.